martedì 24 novembre 2009

STRIPTEASE by RITA BELLACOSA A strip that tears the applause 21/11/2009 - 20:12 You select music with malice, with a lives light short black you move you sinuous on dizzy heels; under the suit you have very little, an impalpable veil of black lingerie. On the face the lights of a wise maquillage; there is no denying it, tonight you have overcome yourself: a great star for a public of an only spectator. You foretaste and continuous in your strategy of war. You mirrors, ripple before here, then of there; in the mirror you are beautiful, really beautiful. They told you all the country but you you didn't believe it or you perhaps faked indifference. One you Answered to everybody: <>. Yet you were careful to yours to dress; every evening you leaned on the chair the suits of the next day chosen as you would be wanted to feel later you the morning. You often listened to a song from that small orange stereo, of epoch because it had been being in the house for so many years. How did it do that motive? Ah, "under to the blues jeans you never dress nothing" and you blushed only to the thought and you imagined to whom Drupi had been able to devote those words and as she had to be her. You were nice, a lot; you had that unaware sensuality that a little girl can have, a mixture of childish innocence and desire to already feel you woman, curious and frightened of what this could mean. Here it is the woman that you had become; very beautiful, soft it ogled from that mirror. You waited for him as every evening inventing you a special surprise for your man, finally, after you had tried us in so many that you could fill us a stadium. Him no, you had not courted you, flattered, surrounded of attentions, submerged of gifts; he was not this way. he had simply looked you as you are, for what you are. Here it was about to reenter; you imagined that you would have caught you while, with the hands, you accompanied every movement of the body slightly caressing you. You would have started to strip you, without anxieties, waddling in the dark illuminated only by the weak light coming from the road of the metropolis. To stare at him without even not dissuading for an instant the look from him, to sometimes snicker, small giggles while he looked you and you...street, down the lightning. You saw yourself while you were provoking him making smile alternated by sighs. And after…
STRIPTEASE de RITA BELLACOSA
Le strip qui arrache l'applaudissement 21/11/2009 -20:12 Musique choisie avec malice, tu avec un petite robe noir courte lager; tu te remues sinueuse sur talons vertigineux; sous le vetement tu as très peu, un voile impalpable de lingerie noire. Sur le visage les lumières d'un maquillage savant; il y n'a pas que dire, ce soir tu t'as dépassé même: une grande star pour un public d'un spectateur unique. Tu continus dans ta stratégie de guerre. Dans le miroir tu flottes premier d'ici, puis de là; il est beau se regarder en satisfaisant de la beauté. Tu est vraiment belle. On te le disait tous au pays mais toi tu ne croyais pas ou tu feignais indifférence peut-être. Tu répondais à tous: <>. Pourtant tu étais attentive au tien habiller; chaque soir tu appuyais sur la chaise les habits du lendemain choisis comme tu te serais voulue entendre le matin après. Tu écoutais souvent une chanson de ce petit stereo orange, d'époque parce qu'il était en maison depuis beaucoup d'années. Comme il faisait quelle chanson? Ah, " au dessous des blue jeans tu ne apportes jamais rien" et tu rougissais seulement à la pensée et tu imaginais à qui Drupi eût pu dédier ces mots et comme il dût être elle. Tu étais sensuelle, beaucoup; tu avais cette sensualité inconsciente que une petite fille peut avoir, un mélange d'innocence et désir de t'entendre déjà femme, curieuse et effrayée de ce que cela pût signifier. Voilà la femme qui tu étais devenue; très belle et douce dans ce miroir. Tu l'attendais comme chaque soir en t'inventant une surprise spéciale pour ton homme, enfin, après qu'ils avaient essayé en nombreux qui on pouvait remplir un stade. Il non, il ne t'avait pas courtisée, flattée, entourée d'attentions, submergée de cadeaux,; il n'était pas comme ça. Elle t'avait simplement regardée comme tu es, pour cela que tu es. Il allait rentrer voilà; tu imaginais qu'il te surprendrait pendant que, avec les mains, tu accompagnais chaque mouvement du corps en te caressant légèrement. Tu aurais commencé à te déshabiller, sans anxiétés, en te déhanchant seulement dans l'obscurité embrasée de la lumière faible provenante de la rue de la métropole. fixer lui sans détourner pour un instant non plus le regard de lui, de temps en temps ricaner, petits gloussements pendant qu'il te regardait et tu...ailleurs, en bas l'éclair. Tu te voyais pendant que tu le taquinais en faisant des soupirs. Tu aurais commencé à te défiler lentement un bas, remis le talon, défilée l'autre. Tu te serais levée de déclenchement en remuant les jambes lisses. Vous etes sur le lit et puis…

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